Ejectée de Facebook parce qu'elle s'appelle Kate Middleton

Pour le monde entier, Kate Middleton est la fiancée du prince William, une pétillante brune connue, entre autres, pour son style classique et sans fausse note.Lire la suite l'article

Mais, comme cela arrive souvent, la future princesse a (au moins) une homonyme, et britannique de surcroît. Cette autre Kate Middleton, blonde et n'ayant, selon ses propres dires "rien à voir physiquement avec" la future épouse de William, a vu son compte Facebook censuré pour cause de fraude.

"J'étais scotchée. C'était ridicule parce que de toute évidence ils pensaient que j'essayais de me faire passer pour la Kate Middleton du prince William. C'était pourtant moi sur la photo de profil, et clairement je n'ai rien à voir physiquement avec elle. D'ailleurs, la Kate de William n'est même pas sur Facebook", a déclaré la trentenaire blonde au quotidien britannique "The Sun".

C'est en effet le quotidien qui a réussi à résoudre cette affaire pour elle, en prouvant qu'elle était bien une autre Kate Middleton, tout à fait légitime. Mais il a fallu un certain temps avant que ça bouge du côté de Facebook. Car Kate (la blonde), qui possédait pourtant son compte depuis trois ans, et était en réseau dessus avec 220 "amis", s'est retrouvée dirigée un beau jour sur une page d'aide lui expliquant qu'elle avait créé son compte sous un faux nom. Et bien qu'elle ait rempli un formulaire en ligne pour expliquer que ce n'était pas le cas, personne ne lui a répondu pendant quatre jours.

Finalement, c'est grâce au "Sun" que le problème a été résolu, mais Kate reste encore surprise de cet épisode : "Je suis si contente que le 'Sun' leur ait dit que je ne fraudais pas et qu'ils aient résolu ça pour moi. (...) Mais pour autant que je sache, il y a plein de Kate Middleton sur Facebook. Et je n'avais jamais eu de problème avec mon nom".

Du côté de Facebook, contacté par le "Sun", il s'agit d'une erreur compréhensible : "On vérifie des milliers de contenus tous les jours, bien sûr que nous faisons parfois des e...Lire la suite sur Closer.fr