Messages les plus consultés

lundi 7 février 2011


Booste le nombre visiteurs sur ton blog!

Haïti: le président René Préval restera en fonction jusqu'au 14 mai

Le président haïtien René Préval conservera ses fonctions trois mois supplémentaires le temps d'organiser le second tour de l'élection présidentielle pour désigner son successeur, a déclaré lundi son secrétaire général Fritz Longchamp.Lire la suite l'article

Le président haïtien n'avait pas dévoilé ses intentions ces derniers jours, et certaines rumeurs lui prêtaient le projet de nommer un successeur temporaire. "Il restera au pouvoir jusqu'au 14 mai. Il ne partira pas aujourd'hui", a déclaré M. Longchamp lundi. Une loi lui permet de rester en poste trois mois supplémentaires.M. Préval quittera son poste le 14 mai, a confirmé M. Longchamp à l'Associated Press. Son mandat aurait dû expirer lundi, mais son successeur ne sera pas élu avant le 20 mars, date du second tour de la présidentielle.
Les Etats-Unis et d'autres pays ont exprimé leur accord pour un maintien de M. Préval dans ses fonctions quelques mois après l'expiration de son mandat afin d'éviter un vide du pouvoir.
Lundi matin, une manifestation anti-Préval réunissant une cinquantaine de personnes s'est tenue devant le Palais national, bloquant le trafic avec des poubelles renversées et des pneus en flammes. Les manifestants ont jeté des pierres et scandé "Préval est un escroc". Ils ont ensuite été dispersés par la police.
Le président sortant est très impopulaire, surtout dans les zones urbaines. La semaine dernière, le candidat soutenu par le gouvernement, Jude Célestin, a été éliminé de la course à la présidence suite à la contestation des résultats du premier tour.
Le second tour opposera le 20 mars l'ex-première dame Mirlande Manigat au chanteur populaire Michel Martelly. La campagne électorale doit commencer le 17 février et les résultats définitifs ne devraient pas être connus avant le 16 avril.

Tunisie: l'armée rappelle les réservistes

Le ministère tunisien de la Défense a rappelé les réservistes lundi, alors que des troubles continuent d'affecter plusieurs régions du pays, selon l'agence de presse officielle TAP.Lire la suite l'article

La consigne concerne les sous-officiers et militaires relevant de la marine, de l'aviation, des administrations et des services, ainsi que les conscrits des sessions du quatrième trimestre de 2008 et de toute l'année 2009 relevant des trois armes, de la direction générale de la sécurité militaire et de la direction générale des munitions et de l'armement, précise le communiqué diffusé par la TAP.Le gouvernement a demandé aux militaires partis à la retraite au cours des cinq dernières années de rejoindre à partir de dimanche les centres régionaux de conscription et de mobilisation les plus proches de leur lieu de résidence.
L'armée compte 45.000 hommes, contre près 50.000 pour les forces de sécurité.
Lundi, le Premier ministre de transition Mohamed Ghannouchi a évoqué devant le Parlement des "dangers qui menacent les acquis de la révolution", affirmant que la menace émane d'individus voulant "faire régresser" le pays, sans plus de précisions.
Ces derniers jours, des groupes non identifiés munis d'armes blanches ont tenté de semer la panique parmi la population dans plusieurs régions de l'intérieur de la Tunisie.
La semaine dernière, le ministre de l'Intérieur Farhat Rajhi avait limogé 42 hauts cadres de la police après avoir selon lui échappé à une agression au sein de son département. Il avait évoqué un "complot contre la sûreté intérieure" qui serait fomenté par un de ses prédécesseurs, Rafik Belhaj Kacem, mis en garde à vue.
Des syndicalistes ont mis en cause des responsables de l'ex-parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) du président déchu Zine el Abdine ben Ali.
Dimanche, le ministère de l'Intérieur a d'ailleurs annoncé la suspension des activités du RCD et sa dissolution prochaine. 

Marée noire dans le Golfe après la rupture d'un oléoduc

La rupture d'un oléoduc vieillissant dans le sud de l'Iran a provoqué une importante pollution des côtes et de terres cultivées près de la ville iranienne de Deylam, sur le Golfe, a rapporté lundi 7 février l'agence officielle IRNA.Lire la suite l'article
Le quotidien Sharq fait état d'une nappe de 200 km2. 'Près de 20 kilomètres de la côte autour de Deylam et 500 hectares de terres cultivées ont été polluées par la fuite de pétrole', a précisé le responsable de la protection de l'environnement dans la province méridionale de Bouchehr.
DEUX MOIS DE NETTOYAGE
Selon lui, l'oléoduc s'est rompu entre Aghajari et Deylam, la semaine dernière, provoquant des dégâts 'irréversibles'. Mohammad Baqer Nabavi, chef adjoint de l'Organisation de la protection de l'environnement, a déclaré que des opérations de nettoyage avaient été lancées, tout en soulignant l'ampleur de la tâche.
'Si les conditions météorologiques sont favorables, cela va prendre au minimum deux mois pour nettoyer les zones polluées, a-t-il déclaré. Tous les équipements sont prêts à nettoyer la marée noire, mais le travail a été ralenti par une tempête.'
L'Iran est le deuxième plus important producteur de brut au sein de l'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP).

Egypte: Les Frères musulmans prudents sur les consultations

Le départ de Moubarak reste à leurs yeux une condition sine qua non...Lire la suite l'article
 Les Frères musulmans, principale formation de l'opposition égyptienne, ont annoncé lundi qu'ils reconsidéreraient leur participation aux consultations engagées par le gouvernement si leurs demandes, comme le départ du raïs, restent lettre morte.
«Certaines de nos demandes ont bien été prises en compte»
«Nous allons reconsidérer toute la question du dialogue (...) Certaines de nos demandes ont bien été prises en compte mais nous n'avons pas eu de réponses concernant les plus importantes, comme celle du départ de (Hosni) Moubarak», a expliqué à Reuters Essam el-Erian, un des hauts responsables de la confrérie islamiste.
Dimanche, l'opposition égyptienne a salué une première étape positive à l'issue des consultations avec le vice-président Omar Souleimane, au 13e jour du soulèvement contre le régime de Hosni Moubarak. Jusqu'ici hostiles au dialogue avec les autorités, les Frères musulmans, mouvement officiellement interdit mais toléré dans les faits et le plus structuré de l'opposition, ont accepté de participer aux discussions.
Parmi les revendications de l'opposition égyptienne figurent une nouvelle constitution pour la tenue d'élections libres, une limite du mandat présidentiel, la dissolution du parlement, la libération des prisonniers politiques et la fin de l'état d'urgence.

Comment Nestlé s'est fait racketter par le clan Ben Ali

Personne ne semble avoir échappé aux pratiques mafieuses du clan Ben Ali. Pas même Nestlé, présente en Tunisie depuis les années 1960. Une enquête de la Télévision Suisse Romande (TSR) en collaboration avec Le Monde a pu reconstituer la manière dont l'homme d'affaires Mohamed Sakhr El-Materi marié à Nesrine Ben Ali, la fille ainée du couple présidentiel et son groupe Princesse Holdings avaient fait main basse en 2006 sur 40 % des actions Nestlé Tunisie, alors détenues par la Banque Nationale Agricole (BNA) et la Société tunisienne des industries laitières (STIL).Lire la suite l'article

Dès 2005, Nestlé Tunisie qui emploie alors 300 personnes avec une usine à Carthage et possède un chiffre d'affaires de 50 millions de francs suisses, commence à susciter la convoitise de l'homme d'affaires Mohamed Sakhr El-Materi. Né en 1981, il est à la tête d'une holding qui ne cesse de grossir, active dans les secteurs de la banque, des télécommunications, et du commerce automobile.Et comment le géant de l'agro-alimentaire, totalement pris par surprise, s'était ensuite arrangé pour, deux ans après, acheter au prix fort les parts de cet actionnaire gênant. Alors dirigé par Peter Brabeck, le groupe suisse s'est pourtant bien gardé de mentionner l'épisode à ses actionnaires et a même continué à faire des affaires sur place.
'NOUS AVONS ÉTÉ MIS DEVANT LE FAIT ACCOMPLI'
Faire pression sur les actionnaires de Nestlé Tunisie, la BNA et STIL pour qu'ils cèdent leur participation soit respectivement 26,6 % et 14 % est alors presque un jeu d'enfant. En 2006, Sakhr El-Materi a ainsi pu les racheter au prix nominal, soit quelques 4,5 millions de dinars (alors 3 millions d'euros).
Interrogé par Yves Steiner, journaliste de la Télévision Suisse Romande, le service de presse de Nestlé n'a pas commenté ce chiffre mais a confirmé que cette acquisition était illégale. 'Cette transaction s'était faite sans consultation préalable avec Nestlé, en violation du droit de préemption de Nestlé et en dehors des transactions officielles de la Bourse de Tunis' écrit Mélanie Kholi, porte-parole.... 

Égypte : le régime Moubarak joue la montre

Les autorités égyptiennes comptent sur l'essoufflement de la contestation et refusent toujours de lâcher sur l'essentiel: le départ de Hosni Moubarak.Lire la suite l'article
En moins de deux semaines, les manifestants de la place Tahrir ont déjà fait vaciller le régime égyptien, obtenant des concessions impensables il y a encore peu. Moubarak a annoncé qu'il ne se représenterait pas à la prochaine présidentielle, son fils a été écarté de sa succession, un vice-président a été désigné pour la première fois depuis trente ans, le parti unique a perdu l'essentiel de son rôle et le gouvernement a été forcé de démissionner . Mais depuis, les autorités égyptiennes jouent la montre et comptent sur l'essoufflement de la contestation.
Les négociations avec les représentants de l'opposition ont continué ce lundi, mais achoppent toujours sur la demande principale des manifestants: le départ de Hosni Moubarak . Ils ont appelé à une grande journée de manifestation ce mardi et un autre mot d'ordre a été lancé pour vendredi. Loin de faiblir, la mobilisation continue. Faisant la queue en bon ordre devant les barrages, phénomène inédit en Égypte, les gens continuent à affluer sur la place Tahrir, devenue une sorte d'université à ciel ouvert, où se développe une conscience politique nouvelle. La foule, qui découvre avec griserie la liberté d'expression, n'entend pas se laisser manuvrer par des concessions que n'accompagne aucune garantie.
Guerre d'usure
Entre un régime qui refuse de lâcher sur l'essentiel et des manifestants qui ne s'accordent vraiment que sur l'essentiel, l'impasse continue. La stratégie du pourrissement peut aussi bien jouer contre le gouvernement qu'en sa faveur. Les tentatives de l'armée pour réduire peu à peu le périmètre occupé par les manifestants ont été empêchées par des sit-in devant les chenilles des chars, et des contestataires dorment à présent entre les blindés. Jour et nuit, les haut-parleurs continuent de diffuser discours, chansons et slogans.... 

Côte d'Ivoire : violents heurts entre manifestants et police à Abidjan

De violents affrontements ont eu lieu lundi 7 février dans l'après-midi à Abidjan entre manifestants et policiers fidèles au président sortant, Laurent Gbagbo, dans un quartier favorable à son rival, Alassane Ouattara.Lire la suite l'article

Les FDS présentes sur place ont alors reçu d'impressionnants renforts et se sont affrontées aux manifestants, ont indiqué des témoins. Des informations non confirmées de source indépendante ont fait état d'au moins un mort. Un fort détachement de forces de l'ordre était déployé en fin de journée à proximité de la mairie d'Abobo, en face de laquelle se trouvait un bus calciné. En début de soirée, des habitants interrogés par téléphone par l'AFP ont fait état de 'tirs très nourris' dans le quartier. 'On est tous terrés dans les chambres', a raconté l'un d'eux.Selon deux témoins, des habitants d'Abobo, au nord de la ville, étaient sortis pour protester contre les 'exactions' commises selon eux par les Forces de défense et de sécurité (FDS), loyales à Laurent Gbagbo, durant les semaines de couvre-feu institué mi-janvier dans ce quartier. Les manifestants ont ensuite saccagé deux commissariats de ce quartier populaire, selon une source policière et des habitants.
DES VIOLENCES CONTINUES
Un couvre-feu nocturne a été instauré le 12 janvier à Abobo et Anyama, un autre bastion de M. Ouattara à Abidjan, à la suite de violences qui avaient fait au moins 11 morts, dont huit FDS. Ce nouvel accès de violences à Abobo survient le jour où les experts envoyés par le panel de chefs d'Etat chargé par l'Union africaine de dénouer la criseont commencé leurs entretiens à Abidjan. Ils se sont entretenus notamment avec Guillaume Soro, premier ministre de M. Ouattara, et le camp Gbagbo, et doivent partir jeudi.
Depuis la présidentielle du 28 novembre, la Côte d'Ivoire est déchirée entre M. Gbagbo et M. Ouattara, reconnu président élu par la quasi-totalité de la communauté internationale, qui presse en vain le sortant de céder le pouvoir. Les violences post-électorales dans le pays ont fait 271 morts depuis la mi-décembre, selon le dernier bilan de l'ONU.

La fortune du clan Moubarak dépasserait les 40 milliards de dollars

La dictature rapporte au Moyen-Orient. Le quotidien britannique The Guardian affirme que le président égyptien, sa femme et leurs deux fils seraient à la tête d'une fortune estimée entre 40 et 70 milliards de dollars (soit entre 29,5 et 51,6 milliards d'euros). Une somme considérable qu'Hosni Mubarak aurait commencé à amasser bien avant d'accéder à la présidence en 1981.Lire la suite l'article
Les Moubarak auraient été en mesure de s'enrichir ainsi par le biais d'un certain nombre de partenariats avec des entreprises étrangères, estime Christopher Davidson, professeur de politique au Moyen-Orient à l'Université de Durham en Angleterre. La loi égyptienne exige des entreprises étrangères qui souhaitent s'implanter en Egypte qu'elles créent un joint venture dont 51% des parts appartiennent à un partenaire local. Une loi allègrement détournée par la famille du Raïs en un système de corruption.
Des propriétés à New York et à Rodéo Drive
La chaîne de télévision australienne ABC NEWS indique quant à elle qu'Amal, un des fils de Moubarak, aurait spéculé depuis les années 80 sur la dette de son pays sur le marché financier international. Les bénéfices réalisés lui permettant d'acquérir des terrains militaires à des prix défiant toute concurrence qu'il revendait ensuite à des investisseurs.
Selon le journal algérien El Khabar, une bonne partie de cette fortune serait déposée dans des banques suisses et britanniques ou investie dans de l'immobilier. Le Raïs posséderait notamment des propriétés à New York, ainsi que sur la fameuse Rodeo Drive à Beverly Hills.
Ce mode d'accumulation de richesses est commun aux autres leaders des pays du Golfe, assure Amaney Jamal, professeur en sciences politiques de l'université de Princeton. «C'est le modèle qu'appliquent d'autres dictateurs du Moyen-Orient afin que leur richesse ne soit pas saisie au cours d'un changement de pouvoir», explique-t-il.

La place Tahrir reste occupée,mise en garde des Frères musulmans

Les Frères musulmans, principale force de l'opposition égyptienne, ont prévenu lundi qu'ils pourraient quitter les consultations ouvertes par le gouvernement alors que les manifestants de la place Tahrir continuent de réclamer le départ immédiat d'Hosni Moubarak.Lire la suite l'article
A Washington, Barack Obama a estimé de son côté que les consultations engagées ce week-end au Caire avaient permis d'enregistrer des progrès. "A l'évidence, l'Egypte doit négocier une voie et ils font des progrès", a-t-il dit à la presse.
Mais l'appréciation portée par le président américain semble en contradiction avec les déclarations des principales figures de l'opposition égyptienne, qui n'ont fait état que de petits progrès au cours de la première séance de discussions avec le vice-président, Omar Souleimane.
Au nom des Frères musulmans, Essam el-Erian a déclaré que la confrérie islamiste reconsidérerait sa participation à ces consultations si ses demandes, comme le départ du raïs, restent lettre morte.
"Nous allons reconsidérer toute la question du dialogue (...) Certaines de nos demandes ont bien été prises en compte mais nous n'avons pas eu de réponses concernant les plus importantes, comme celle du départ de Moubarak, a-t-il dit à Reuters.
"NOUS NE VOULONS PAS DE SOULEIMANE"
Au quatorzième jour de la contestation du régime, alors que le nouveau gouvernement se réunissait au complet, des milliers de personnes ont continué d'occuper la place Tahrir (Libération), au coeur de la capitale, pour exiger le départ immédiat du raïs.
De nombreux jeunes protestataires disent ne rien attendre des consultations engagées entre le vice-président Omar Souleimane et l'opposition, et veulent poursuivre la "Révolution du Nil".
"Je rejette le dialogue. Nous ne reconnaissons pas ce gouvernement. Moubarak doit partir, le despote doit partir, et nous ne bougerons pas d'ici tant qu'il restera", déclare Sayyed Abdel-Hadi, un comptable de 28 ans. "Nous ne voulons pas de Souleimane, c'est le symbole du régime de Moubarak. S'il devient président, nous ferons une autre révolution", renchérit Oussama Gamal, un enseignant de 22 ans.
LASSITUDE PERCEPTIBLE
Au pouvoir depuis près de trente ans, Hosni Moubarak a annoncé qu'il ne solliciterait pas un sixième mandat lors de l'élection présidentielle prévue en septembre. Il n'entend toutefois pas quitter la présidence d'ici là afin de superviser la période de transition.
Les opposants prévoient de nouveaux rassemblements mardi et vendredi, tout comme les manifestants qui continuent à descendre dans les rues, en moins grand nombre, à Alexandrie et à Suez.
Une forme de lassitude semble toutefois perceptible dans la population après deux semaines de paralysie de la vie publique.
L'activité a repris dans une grande partie du pays et les banques ont rouvert dimanche, de longues files d'attente se formant pour retirer de l'argent liquide. La capitale commence à renouer avec ses traditionnels et apocalyptiques embouteillages.
Fermée le 27 janvier, la Bourse du Caire rouvrira dimanche prochain, a déclaré un responsable de la place financière. La livre égyptienne est à un plus bas de six ans.
Les autorités ont de nouveau écourté le couvre-feu qui sera désormais en vigueur de 20h00 à 06h00 (18h00 GMT à 04h00 GMT). Le couvre-feu imposé le 28 janvier débutait jusque-là à 19h00 (17h00 GMT).
Hosni Moubarak a remanié son gouvernement fin janvier pour tenter d'apaiser la colère des centaines de milliers de manifestants qui dénoncent la pauvreté, la corruption et le manque de libertés.
Après l'ouverture de consultations avec l'opposition, présidées par le nouveau vice-président Omar Souleimane, le gouvernement a annoncé dimanche un accord sur un cadre de négociations. Il a ajouté que le processus serait supervisé par Hosni Moubarak.
Un comité a été créé afin de réfléchir à des réformes constitutionnelles. Le gouvernement a aussi évoqué la libération de prisonniers politiques, la liberté de la presse et une levée de l'état d'urgence.